
Implantologie
Retrouvez dans cette rubrique toutes les informations concernant l’implantologie.
Qu’est-ce qu’un implant dentaire ?
L’implant dentaire est aujourd’hui la meilleure solution, d’un point de vue fonctionnel aussi bien qu’esthétique, pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes.
C’est une racine artificielle le plus souvent en titane, qui ressemble à une petite vis et sert à remplacer la racine d’une dent abîmée ou manquante.
Elle est enfouie dans l’os de la mâchoire et utilisée comme support d’une prothèse fixe (bridge ou couronne) ou pour stabiliser une prothèse amovible remplaçant une ou plusieurs dents manquantes.
Qu’appelle-t-on le phénomène d’ostéo-intégration ?
Le phénomène d’ostéo-intégration a été découvert par le Professeur Bränemark, un chirurgien orthopédiste et professeur-chercheur suédois, dans les années 1960.
C’est un processus de soudure entre l’os vivant et le métal (le titane) :
- L’implant est inséré dans l’os.
- Au contact de l’oxyde de titane qui recouvre la surface de l’implant, l’os réagit, cicatrise et se reforme autour de l’implant.
- La phase de cicatrisation dure de trois à six mois en fonction des cas cliniques.
- A terme, l’implant dentaire est figé dans l’os de la mâchoire.
Pourquoi utilise-t-on le titane ?
C’est le premier matériau connu qui soit totalement biocompatible.
Par conséquent :
- Il permet le processus d’ostéo-intégration.
- Il n’existe aucune allergie au titane, déclarée à l’heure actuelle dans le monde.
Quels sont les avantages des implants dentaires ?
Les implants dentaires offrent de nombreux avantages :
- Dans la technique du bridge classique, il est nécessaire de tailler les dents bordant l’espace laissé par la dent absente pour s’en servir de pilier de bridge. Avec un implant, les dents voisines du site édenté sont préservées, ce qui évite un délabrement prématuré de celles-ci.
- Les implants empêchent la fonte osseuse et l’affaissement du visage.
- Ils offrent une base stable pour les nouvelles dents, même lorsque plusieurs dents sont absentes, et permettent de parler et de manger confortablement.
- C’est une solution pérenne, les études sur les moyen et long termes montrant des taux de réussite très élevés.
- Les résultats cosmétiques et fonctionnels sont reconnus.
Quels sont les facteurs intervenant dans la réussite du traitement implantaire ?
Les différents facteurs intervenant dans la réussite du traitement implantaire sont les suivants :
- la qualité de l’os du patient,
- sa santé et son hygiène buccodentaire,
- la répartition des forces sur l’implant,
- la fréquence des visites de contrôle.
Quels peuvent être les complications du traitement implantaire ?
La majorité des complications intervient pendant les premiers mois de cicatrisation : l’ostéo-intégration ne parvient pas à se faire en raison de l’interposition d’un tissu fibreux.
L’implant dentaire devient mobile et douloureux : il faut le retirer, opération qui se réalise sous anesthésie locale.
Un nouvel implant pourra être mis en place quelques semaines ou quelques mois après cicatrisation.
Peut-on poser des implants dentaires à tout le monde ?
La proximité d’un obstacle anatomique, comme le sinus maxillaire en haut ou le nerf alvéolaire inférieur en bas, ou une perte osseuse importante peuvent rendre la solution implantaire difficile à envisager.
Une reconstruction osseuse est alors nécessaire préalablement à la pose de l’implant.
Combien de temps durent les implants dentaires ?
Comme pour une dent naturelle, il est difficile de donner précisément la durée de vie d’un implant dentaire, car celle-ci dépend de plusieurs facteurs (génétique, hygiène, santé générale du patient …).
Néanmoins, les études scientifiques démontrent que le traitement implantaire est aujourd’hui le traitement de l’édentement le plus fiable, avec un taux de survie des implants dentaires de 96% à 10 ans et environ 90% à 20 ans.
Quelles sont les étapes du traitement implantaire ?
- La mise en place d’un ou plusieurs implants dentaires nécessite la réalisation préalable d’examens cliniques, radiologiques et scanner, de la zone à implanter, afin d’évaluer la quantité d’os disponible et les éléments anatomiques environnants.
- Si le volume osseux est suffisant, la première étape consiste à préparer, dans l’os de la mâchoire, un site dans lequel l’implant sera enfoui. Il s’agit d’une intervention chirurgicale, effectuée généralement sous anesthésie locale, plus rarement sous anesthésie générale, dans un bloc chirurgical, dans des conditions d’asepsie rigoureuses. Les différentes étapes de l’intervention de mise en place de l’implant sont les suivantes :
- La gencive est incisée et décollée pour permettre l’accès à l’os alvéolaire, où la pose de l’implant est prévue.
- L’emplacement de l’implant dans l’os est préparé en passant plusieurs forets de diamètre croissant. Le forage de l’os se fait à vitesse maîtrisée et lente sous irrigation, pour respecter la structure osseuse et éviter tout échauffement de celle-ci. Le praticien arrête lorsqu’il a obtenu un puit d’un diamètre très légèrement inférieur à l’implant à poser.
- L’implant est placé dans l’os le plus souvent par vissage.
La mise en place de l’implant en une chirurgie : la vis de cicatrisation en titane est directement vissée sur l’implant. Puis, la gencive est replacée et suturée. - La mise en place de l’implant en deux chirurgies : la gencive est replacée et suturée sur une vis de couverture. Après deux à quatre mois de cicatrisation, la gencive est à nouveau incisée et décollée afin de placer la vis de cicatrisation en titane sur l’implant.
- Le processus d’osteo-intégration dure de trois à six mois après l’ (ou les) intervention(s) chirurgicale(s). C’est l’étape pendant laquelle l’os se reconstitue autour de l’implant et le fige.
- Lorsque l’implant est ostéo-intégré, il est prêt à se comporter comme une racine artificielle et à servir de base à une prothèse.
Quels sont les composants d’un implant dentaire ?
- Le pilier implantaire en titane permet le passage au travers de la gencive.
- La vis de couverture est utilisée dans les techniques de mise en place des implants en deux chirurgies. Elle permet d’obturer, à la fin de la première chirurgie, le filetage présent sur l’implant. Elle est retirée lors de la seconde chirurgie pour être remplacée par la vis de cicatrisation.
- La vis de cicatrisation est placée dans le filetage de l’implant pour empêcher le recouvrement naturel de la gencive et guider la cicatrisation. Elle permet de préserver l’accès au filetage de l’implant depuis la cavité buccale pour visser à terme les différentes pièces. Elle sera remplacée de manière définitive par le pilier prothétique.
Est-ce que la pose d’un implant est douloureuse ?
L’opération étant réalisée sous anesthésie locale, le patient ne sentira rien lors de l’intervention.
Lorsque l’anesthésie ne fait plus effet, il est normal de ressentir des tiraillements. La prise d’antalgiques à heures régulières permet d’éviter l’apparition de douleur. Il est important de suivre les consignes post-opératoires fournies par le praticien.
Qu’est-ce que la mise en charge immédiate ?
Il est nécessaire d’attendre trois à six mois avant de fixer une prothèse sur un implant : c’est la phase d’ostéo-intégration, pendant laquelle l’implant ne doit pas être mobilisé afin de favoriser la cicatrisation.
Néanmoins, dans certains cas favorables, il est possible de placer une prothèse provisoire très rapidement sur les implants : c’est la mise en charge immédiate.
Il s’agit de techniques chirurgicales spécifiques qui permettent de gagner du temps en fixant une prothèse provisoire directement après l’intervention.
L’objectif de la mise en charge immédiate n’est pas de mastiquer tout de suite sur les prothèses provisoires mais d’avoir un confort minimum, en particulier dans le cas de dents antérieures manquantes ou d’une édentation complète.
Le cas des dents antérieures
Lors du remplacement d’une dent antérieure, lorsque les conditions osseuses le permettent, il est possible de mettre en place immédiatement une dent provisoire sur l’implant.
L’avantage est de ne pas avoir de prothèse provisoire amovible ou de bridge provisoire, pendant la phase d’ostéo-intégration.
Néanmoins, cela nécessite de respecter rigoureusement quelques consignes. En particulier, il est impératif de ne pas mordre sur la dent provisoire pendant une période de trois à six mois, pour ne pas compromettre la cicatrisation.
C’est d’ailleurs pourquoi la dent prothétique est souvent légèrement plus petite que les dents antagonistes.
Le cas des édentés complets
Le traitement des édentés complets impose la mise en place de plusieurs implants, leur nombre étant fonction des situations cliniques.
Dans certains cas favorables, si les implants semblent très stables, il est possible à la fin de l’opération de prendre une empreinte, l’objectif étant de placer un bridge fixe provisoire dans un délai de 24 à 72 heures après l’intervention.
Une fois le bridge placé, il est impératif de respecter strictement les consignes suivantes :
- Ne pas exercer de pressions importantes pendant une période de trois à six mois, phase d’ostéo-intégration.
- Eviter de mastiquer des aliments durs, favoriser plutôt une alimentation molle (fruits écrasés, purée, viande hachée).
Qu’est-ce qu’un comblement osseux ?
Suite à l’examen scanner, le chirurgien-dentiste calcule le volume osseux disponible pour la pose de l’implant. Si ce volume est insuffisant en hauteur (au niveau des molaires supérieures et inférieures) ou en épaisseur (dans les zones antérieures ou postérieures), il faut réaliser un comblement osseux ou greffe osseuse.
Ce comblement peut être réalisé avant ou en même temps que la pose des implants.
Lors de l’intervention, l’os est placé au niveau du défaut osseux. S’il est utilisé en bloc il est vissé par des petites vis en titane. S’il est utilisé en particules, il est stabilisé par une membrane.
Durant la période de cicatrisation, le comblement osseux va être dégradé complètement ou partiellement pour être lentement remplacé par l’os du patient. On appelle ce phénomène la régénération osseuse.
Les risques et complications de cette chirurgie sont classiques : saignements, gonflements, hématomes. Dans moins de 5% des cas, une infection peut survenir. En ce cas, le chirurgien dentiste va intervenir à nouveau pour nettoyer le site chirurgical. Chez le patient fumeur, les risques augmentent jusqu’à 10 %. Il est donc conseillé d’arrêter de fumer avant ce type d’intervention.
Qu’est-ce qu’un comblement de sinus par abord latéral ?
Le volume osseux disponible au niveau des molaires supérieures est parfois insuffisant pour pouvoir poser un implant. Il est donc nécessaire de réaliser un comblement osseux.
Il existe deux techniques de comblement de sinus en fonction du volume osseux à régénérer : le comblement de sinus par abord latéral et le comblement de sinus par abord crestal.
Le comblement de sinus par abord latéral :
- L’intervention est réalisée sous anesthésie locale.
- Le forage concerne la paroi latérale du sinus.
- Une fenêtre est délimitée et poussée à l’intérieur du sinus de manière à créer un espace.
- Cet espace est comblé par le matériau de comblement qui peut être, selon les cas, recouvert par une membrane.
- L’implant est posé dans la même séance ou 4 à 6 mois après l’intervention.
Les risques et complications du comblement de sinus par abord latéral :
- Lors de l’opération, une perforation de la membrane sinusienne peut survenir. Si elle n’est pas trop importante, le chirurgien-dentiste pourra la réparer. Si elle est conséquente, l’intervention doit être arrêtée et le site refermé. L’intervention pourra être reprogrammée 3 à 4 mois plus tard.
- Dans moins de 5 % des cas, une infection peut avoir lieu, c’est pour cette raison que l’intervention est réalisée sous couverture antibiotique. En cas d’infection, le chirurgien-dentiste intervient à nouveau pour nettoyer le site chirurgical. Cela peut compromettre le volume d’os régénéré et une seconde greffe peut être nécessaire.
- Chez le fumeur, les risques d’échec passent à 10 %. Il est conseillé d’arrêter de fumer avant de subir une greffe osseuse intra-sinusienne.
Qu’est-ce qu’un comblement de sinus par abord crestal ?
Suite à une extraction dentaire, le volume osseux disponible au niveau des molaires supérieures est parfois insuffisant pour pouvoir poser un implant. Il est donc nécessaire de réaliser un comblement osseux.
Il existe deux techniques de comblement de sinus en fonction du volume osseux à régénérer : le comblement de sinus par abord crestal et le comblement de sinus par abord latéral.
Le comblement de sinus par abord crestal :
- L’intervention est réalisée sous anesthésie locale.
- Un forage est réalisé jusqu’au plancher du sinus au niveau crestal : là où l’implant doit être posé.
- A l’aide d’un instrument rond et métallique (un ostéotome) ce plancher va être soulevé.
- Un matériau de comblement est inséré pour repousser le sinus.
- L’implant est posé dans la même séance ou 4 à 6 mois après l’intervention.
Cette technique de comblement de sinus par voie crestale est indiquée quand la quantité d’os à régénérer autour de l’implant est peu conséquente.
Les risques et complications du comblement de sinus par abord crestal :
- Lors de l’opération, une perforation de la membrane sinusienne peut survenir. Si elle n’est pas trop importante, le chirurgien-dentiste pourra la réparer. Si elle est conséquente, l’intervention doit être arrêtée et le site refermé. L’intervention pourra être reprogrammée 3 à 4 mois plus tard.
- Dans moins de 5 % des cas, une infection peut avoir lieu, c’est pour cette raison que l’intervention est réalisée sous couverture antibiotique. En cas d’infection, le chirurgien-dentiste intervient à nouveau pour nettoyer le site chirurgical. Cela peut compromettre le volume d’os régénéré et une seconde greffe peut être nécessaire.
- Chez le fumeur, les risques d’échec passent à 10 %. Il est conseillé d’arrêter de fumer avant de subir une greffe osseuse intra-sinusienne.
Quels sont les matériaux utilisés pour une greffe osseuse ?
Plusieurs types de matériaux de comblement existent pour permettre à l’os de se régénérer lors d’une greffe osseuse. Le chirurgien-dentiste détermine celui qui est le plus approprié selon le cas clinique.
- L’os prélevé sur le patient :
Le chirurgien-dentiste peut utiliser de l’os issu du patient lui-même. Cet os peut être utilisé sous forme de bloc ou broyé en copeaux. Les sites de prélèvement peuvent être le menton et l’angle de la mâchoire inférieure en arrière des molaires. Les sites extra-oraux tel que le crâne, la hanche ou le tibia sont réservés aux cas extrêmes. - L’os d’origine animale :
Il s’agit d’os d’origine coraline, bovine, porcine, ou équine. Les os sont ensuite traités, déprotéinisés et lyophilisés par des laboratoires agréés. - L’os d’origine humaine :
L’utilisation d’os récupérés sur des cadavre est interdite en France. L’os d’origine humaine est donc prélevé à partir de têtes de fémurs collectés sur des patients ayant eu recours à des opérations de prothèses de hanche. Les os sont ensuite traités, déprotéinisés et lyophilisés par des laboratoires agréés. - L’os d’origine synthétique :
Les os sont obtenus grâce à un mélange de phosphate et de calcium.
Qu’est-ce que le PRF ?
Le PRF (Platelet Rich Fibrin ou Fibrine Riche en Plaquette) est un concentré en plaquettes sanguines et en cellules immunitaires, permettant de rassembler en une seule membrane de fibrine l’ensemble des constituants favorables à la cicatrisation et à l’immunité présents dans un prélèvement sanguin.
Ce procédé novateur permet d’accélérer le temps de cicatrisation. Le protocole favorise d’une part la guérison de la plaie et d’autre part accélère la cicatrisation limitant ainsi considérablement les risques de complications post opératoires.
Comment est préparé le PRF ?
- Un prélèvement sanguin de 4 à 8 flacons de 10 ml est effectué sur le patient. Le sang est alors placé dans une centrifugeuse permettant de séparer ses composants et de récupérer un concentré riche en plaquettes.
- Ce concentré de couleur jaunâtre est utilisé tel quel sous forme de membrane ou bien mélangé à de l’os ou à des substituts osseux en granulés pour être porté sous la gencive, à l’endroit du défaut osseux.
- Cela constitue un véritable pansement naturel de fibrine qui se transforme rapidement en tissu osseux ou en tissu muqueux. Ce pansement est en fait une matrice complète contenant l’ensemble des éléments cellulaires et des facteurs de croissance nécessaires à une cicatrisation optimale.
- Après enfouissement sous la gencive, le site greffé est opérationnel à partir d’un délai de trois à six mois, pour réaliser bridges et implants dans d’excellentes conditions.
Quelques conseils à suivre avant l’intervention
Comme pour la plupart des opérations chirurgicales, il est préconisé de :
- Venir habillé de manière confortable.
- Ne pas se maquiller.
- Sauf contre indication, manger avant l’intervention car il s’agit d’une intervention réalisée sous anesthésie locale.
- En cas d’anesthésie générale uniquement, venir à jeun.
- Prendre ses médicaments habituels sauf instruction contraire.
- Prendre la prémédication en suivant les instructions de l’ordonnance fournie par le chirurgien dentiste.
- Venir et repartir accompagné.
- Prévoir si possible de ne pas travailler le lendemain de la chirurgie et rester au repos chez soi.
Quelques conseils à suivre après l’intervention
Après l’intervention, il est conseillé de :
- Ne pas mordre les endroits endormis : joues, lèvres, langue.
- Ne pas fumer.
- Eviter les efforts physiques intenses.
- Ne pas consommer d’aliments ou de boissons chaudes.
- Eviter les expositions prolongées au soleil.
- Dormir en position semi-assise pour faciliter le drainage de la zone opératoire durant les deux premières nuits.
- En cas de chirurgie de comblement sinusien, ne pas prendre l’avion pendant les 10 jours suivant l’intervention.
- Ne pas se moucher.
- Éternuer bouche ouverte.
Effets secondaires :
- Lorsque l’anesthésie ne fait plus effet, une sensation douloureuse peut survenir : prendre les antalgiques prescrits par le chirurgien-dentiste à heure régulière.
- Un œdème peut apparaître dans les 2 à 3 jours suivants l’intervention, et durer pendant une semaine après l’intervention. C’est une réaction post-opératoire normale et dépendante de chacun.
- L’application à l’extérieur, sur la joue, de glace protégée par un linge pendant les heures suivant l’intervention, la fera diminuer et réduira de même la douleur.
- Un hématome (tâche rouge) peut apparaître quelques jours après la chirurgie. Il peut se diffuser de manière impressionnante à distance du lieu de l’intervention (le cou, les yeux). Celui-ci disparaîtra au bout de 5 à 10 jours et changera de couleur durant cette période pouvant prendre une teinte brune ou verte. C’est un phénomène normal et variable en fonction de la chirurgie et du patient.
- Un suintement peut persister pendant quelques jours suivant la chirurgie. En cas de véritable saignement, seule une compression pendant 30 à 60 minutes, avec une compresse, sur la zone hémorragique, permettra l’organisation du caillot sanguin. Si un caillot important se forme dans la bouche, il faut le cracher, le rincer puis compresser. En cas de prolongation, contactez le praticien.
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